Oublier qui je suis
Le monde dans lequel je vis
Oublier que je me plains
Alors que d'autres crèvent de faim
Oublier cette hypocrisie et cette laideur
Qui me ronge de l'intérieur
Effacer les coups de crayon
Qui un jour ont dessiné mon bonheur
Oublier que je ne suis pas celle que j'aurais voulu être
J'ai beau changer les tons
Et peindre mon corps de toutes couleurs
Gris à vermeille
Triste à pastel
Je suis bercée au creux de mon réverbère
Eclairant par sa faible lumière
Le théâtre de mes jours
Décors obscurs
Je me laisse manipuler
Comme le pantin rigolo
Spectacle pour claudos
Je ne suis que celle
Que je décide d'être
Mais au fond Ami,
Qui es- tu et qui suis-je?
grimoire doré, grimoire obscure, poèmes papiers, pensées fragiles....
Description :
v'la mon blog!!!! remplis de poèmes et de pensées, ls sont là pour etre critiqués, alors n 'hésitez pas:
LACHEZ VOS COMMS!!!!!!!!!!
j esper que vs' allez aimer, bonne visite!!
ps:les textes sont by me, les fouteurs de merde peuvent passer leur chemin, et si un de mes textes vous tente, signalez le moi(sur l'article grimoire) o_Ô a+ darkangelis
Son profil
darkangelis91260 ans
Vanuatu (République de)
Vanuatu (République de)
Un sourire innocent
Naît sur ses lèvres
Etire ses joues
Rosie par le froid
D'un air sérieux
Plongée dans sa lecture
De papier et de chiffon
Elle se croit sérieuse, mature
Elle n'a que le regard d'un enfant
Elle n'a même pas 10 ans
Sous ses airs durs et soignés
Se cache la naïveté
Une petite demoizelle plongée
Dans son histoire
Rêvant d'un peu plus chaque soir
Un sourire qu'elle m'adresse
En envoyant des sms
Au creux de ses mains
Se joue son destin
Petite fille trop jeune pour être grande
Vis dans tes souliers de gamine
And be happy
Car la cours des grands
N'est pas faite pour les enfants
T'inquiète pas,
Bientôt toi aussi tu sombreras
Et alors tu regretteras
Cette enfance et cette insouciance
Ce chemin qu'est la chance
Alors tu ne porteras que pour habit
Ce manteau qu'est la souffrance.@Tous Droits Réservés 2009
Naît sur ses lèvres
Etire ses joues
Rosie par le froid
D'un air sérieux
Plongée dans sa lecture
De papier et de chiffon
Elle se croit sérieuse, mature
Elle n'a que le regard d'un enfant
Elle n'a même pas 10 ans
Sous ses airs durs et soignés
Se cache la naïveté
Une petite demoizelle plongée
Dans son histoire
Rêvant d'un peu plus chaque soir
Un sourire qu'elle m'adresse
En envoyant des sms
Au creux de ses mains
Se joue son destin
Petite fille trop jeune pour être grande
Vis dans tes souliers de gamine
And be happy
Car la cours des grands
N'est pas faite pour les enfants
T'inquiète pas,
Bientôt toi aussi tu sombreras
Et alors tu regretteras
Cette enfance et cette insouciance
Ce chemin qu'est la chance
Alors tu ne porteras que pour habit
Ce manteau qu'est la souffrance.@Tous Droits Réservés 2009
Au continent des hommes noirs
Des ombres salissant les murs
Se reflètent dans les miroirs
Et racontent leur histoire
A l'aube d'un beau matin
L'homme blanc assoifé revint
Et pour charmer sa naïve proie
Il lui tint la langue de bois
Envoûtée elle lui offrit
Le maigre fruit de sa labeur
Lui partit, tel un voleur
Laissant l'Afrique plus appauvrie
Aujourd'hui elle n'en peut plus
De ce requin au tein blanc
De se faire mordre à pleines dents
Sa colère, elle ne retient plus
Il est vrai, devant les médias
Cet homme paraissait trop sage
Il portait au creux de ses mains
Des promesses, mais que dis-je,une cage!
Ce soir, pas un chat sur les trottoirs
L'espoir n'est plus qu'un chiffon
Traînant dans les rues sombres
Les sourires peints sur les visages
Sont depuis longtemps effacés
L'homme blanc est un vautour,
En cette mort du jour,
Il n'a laissé qu'à son frère,
Tristesse,faim et pauvreté.
Tous Droits Réservés 09.
Des ombres salissant les murs
Se reflètent dans les miroirs
Et racontent leur histoire
A l'aube d'un beau matin
L'homme blanc assoifé revint
Et pour charmer sa naïve proie
Il lui tint la langue de bois
Envoûtée elle lui offrit
Le maigre fruit de sa labeur
Lui partit, tel un voleur
Laissant l'Afrique plus appauvrie
Aujourd'hui elle n'en peut plus
De ce requin au tein blanc
De se faire mordre à pleines dents
Sa colère, elle ne retient plus
Il est vrai, devant les médias
Cet homme paraissait trop sage
Il portait au creux de ses mains
Des promesses, mais que dis-je,une cage!
Ce soir, pas un chat sur les trottoirs
L'espoir n'est plus qu'un chiffon
Traînant dans les rues sombres
Les sourires peints sur les visages
Sont depuis longtemps effacés
L'homme blanc est un vautour,
En cette mort du jour,
Il n'a laissé qu'à son frère,
Tristesse,faim et pauvreté.
Un soir glacé de décembre
Aucuns papiers aucuns chats
Ne traînent sur les trottoirs
Les révèrbères éteints
N'éclairent plus les chemins
Déjà le silence envahit les pavés
Et l'atmosphère,étrange,
Alourdit l'obscurité
Des ombres assassines
Se dessinent
Sur les murs de ma ville
Le froid fredonne son chant,
Puis caresse le visage des enfants
Leur sang peint les murs
Paisible ils dorment
L'esquisse d'un sourire
Se dessine sur leurs lèvres
Déjà ils n'entendent plus,
L'explosion des bombes et des obus
Déjà ils ne sentent plus
L'odeur du souffre qui pue
Leurs petits corps entassés
Comme des sacs de blé
Ne sont plus que les cadavres
D'une génération éteinte
Un soir glacé de décembre
Le sommeil de la mort
Enveloppe leur petit corps.
Ce rouge qui salit les murs ,
C'est la sottise humaine
Aucuns papiers aucuns chats
Ne traînent sur les trottoirs
Les révèrbères éteints
N'éclairent plus les chemins
Déjà le silence envahit les pavés
Et l'atmosphère,étrange,
Alourdit l'obscurité
Des ombres assassines
Se dessinent
Sur les murs de ma ville
Le froid fredonne son chant,
Puis caresse le visage des enfants
Leur sang peint les murs
Paisible ils dorment
L'esquisse d'un sourire
Se dessine sur leurs lèvres
Déjà ils n'entendent plus,
L'explosion des bombes et des obus
Déjà ils ne sentent plus
L'odeur du souffre qui pue
Leurs petits corps entassés
Comme des sacs de blé
Ne sont plus que les cadavres
D'une génération éteinte
Un soir glacé de décembre
Le sommeil de la mort
Enveloppe leur petit corps.
Ce rouge qui salit les murs ,
C'est la sottise humaine
Une pluie fine
Tombe sur les pavés de ma ville
A la recherche du sommeil
Je sens le marchand de sable qui me fuit
Sur le tableau de verre
Qu'est mon imagination
Je dessine mes rêves
Aux couleurs de la nuit
Je peins une esquisse
De ce qu'ils pourraient être
Car sans Morphée,
Sans qu'il me berce en son sein
Ils sont aussi fades que la rose morte,
Aussi âpres que la cendre des morts
Je laisse ma fatigue
Tel une folie qui enivre
M'emmener sur l'océan de la Poésie
Je laisse ce doux nectar
Consumer ma raison
Enfin, peu à peu,
Après chaque lettre que j'étale,
Mes paupières s'affaissent,
Et la confusion me fait douter
Des vers qui suivront
Confuse,
Sur ces derniers mots,lecteur,
Je te laisse, et vais allonger ce corps,
Qui appellent au repos,
Comme ce cercueil qui un jour,
Refermera sa porte sur ma vie.
Tous Droits Réservés 2009
Tombe sur les pavés de ma ville
A la recherche du sommeil
Je sens le marchand de sable qui me fuit
Sur le tableau de verre
Qu'est mon imagination
Je dessine mes rêves
Aux couleurs de la nuit
Je peins une esquisse
De ce qu'ils pourraient être
Car sans Morphée,
Sans qu'il me berce en son sein
Ils sont aussi fades que la rose morte,
Aussi âpres que la cendre des morts
Je laisse ma fatigue
Tel une folie qui enivre
M'emmener sur l'océan de la Poésie
Je laisse ce doux nectar
Consumer ma raison
Enfin, peu à peu,
Après chaque lettre que j'étale,
Mes paupières s'affaissent,
Et la confusion me fait douter
Des vers qui suivront
Confuse,
Sur ces derniers mots,lecteur,
Je te laisse, et vais allonger ce corps,
Qui appellent au repos,
Comme ce cercueil qui un jour,
Refermera sa porte sur ma vie.
Tous Droits Réservés 2009
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